L’insoutenable légèreté d’être sur le terrain : violence urbaine, anthropologie engagée et défis de représentation dans un quartier brésilien

Dans cet article, je présente l’expérience de mon terrain de quinze mois à Fortaleza, au Brésil. L’expérience de la violence ainsi que la nature sensible de ce terrain ont alimenté des réflexions épistémologiques qui conduiront à une reconfiguration du projet de recherche. Ces réflexions concernent d’une part la pratique de l’anthropologie engagée, et d’autre part les politiques de représentation du terrain.

mots-clefs : violence, Brésil, anthropologie engagée, politiques de représentation, terrain sensible


Numéro 39 – juin 2020 Incidents heuristiques